Elle a vécu une longue vie, elle a écrit à l’encre de la colère, elle a marché de longues marches, fut femme et écrivain.
Elle laisse une œuvre abondante et sûre qui parlera longtemps après elle. Il faudra lire et relire, déchiffrer encore les mystères qu’elle n’eut de cesse de nous conter. Etre femme et écrire, elle en connut le prix, la beauté et la force et les déchirures.
Prix Nobel de littérature en 2007,elle est décédée à l’âge de 94 ans, a annoncé dimanche son agent, Jonathan Clowes. Née le 22 octobre 1919 à Kermanshah en Perse, l’actuel Iran, Doris Lessing est l’auteur d’une œuvre insolente et rebelle riche d’une cinquantaine de titres.
Le Prix Nobel lui fut remis voyant en elle : « la conteuse épique de l’expérience féminine, qui, avec scepticisme, ardeur et une force visionnaire, scrute une civilisation divisée ».
Litterama Les femmes en littérature/ La poétesse a le devoir d'être femme, de tenir le monde à l'oeil et d'être entendue/ Grace Paley 
oui j’ai vu cette annonce
tu la présentes avec beaucoup de poésie et il faut vraiment la lire, la relire
une femme qui restera dans l’histoire littéraire au-delà de son Nobel
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Je ressens un lien d’une telle force avec ces femmes qui ont ouvert la voie. Une réelle émotion.
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Je l’ai découverte avec Un enfant de l’amour. J’ai lu ensuite Victoria et les Staveney. J’en lirais d’autres, c’est certain.
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Je lirai son œuvre dans son entier par ce que je m’y retrouve profondément et qu’elle me permet de mieux comprendre qui je suis..
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Très bel hommage ! J’avais lu et beaucoup aimé « le journal d’une voisine » et j’ai toujours « le carnet d’or » dans ma PAL. Une grande dame et une grande auteure !
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Je n’ai pas lu encore le carnet d’or, je le ferai bientôt.
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Très bel article.
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Alors c’est qu’on a ressenti la même émotion.
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Apprendre la mort d’une grande plume comme Doris Lessing est toujours triste. Maintenant on ne peut souhaiter qu’une chose, c’est qu’elle soit lue pour ne pas être oubliée.
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Oui, tu as raison, c’est ce qui est le plus important.
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C’est un grand écrivain qui disparaît. Mais son oeuvre est là, pour toujours.
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Oui, elle est mémoire vivante, elle court par le monde, elle vibre et elle chante.
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C’était une sacrée personnalité ! J’ai lu quelques uns de ses ivres il y a (très) longtemps. Je vais regarder dans ce qui me reste de ma bibliothèque si je retrouve « Le carnet d’or » pour le relire. Bonne semaine Anis !
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J’aimerais beaucoup que nos lectures du « Carnet d’or » se répondent.
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Dire que je ne l’ai jamais lue… ton billet est très beau.
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Je suis sûre que tu la liras et que tu trouveras une femme d’exception.
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Tu lui rends un bel hommage.
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Merci Clara.
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j’ai adoré le Carnet d’Or lu dans le mouvement des années 70, il faudrait que j’y retourne
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C’est le prochain que je vais lire d’elle.
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Je l’ignorais !! C’est en effet une auteure de grand talent, mon préféré de Doris Lessing reste Journal d’une voisine.
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Et encore une auteure que je n’ai jamais lue…
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