A 54 ans, un homme peut se payer le luxe de s’offrir un deuxième tour… Interview de Diane Brasseur autour de son livre « Les fidélités »

4 réflexions sur « A 54 ans, un homme peut se payer le luxe de s’offrir un deuxième tour… Interview de Diane Brasseur autour de son livre « Les fidélités » »

  1. J’aime bien le titre « Les fidéltés », parce qu’il m’inspire son contraire, et que je trouve que c’est un mot « musical » (3 syllabes ou 4… le mot se met en musique). Quant au sujet fidèle/infidèle… je me demande s’il vaut la peine d’être abordé. il est vieux comme le monde. « FIDES » => Loyauté… »Tu parles de loyauté! Tu juges tout le monde: mais ça ne t’étouffe pas plus qu’un autre, les scrupules ». Simone de Beauvoir.
    Et sais-tu que le scrupule est un « petit poids dont se servaient les apothicaires » ?…
    Des comptes, madame, des comptes !!!

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    1. Oui, d’ailleurs ce livre montre que fidélité et infidélité n’ont pas vraiment de sens hors de leur contexte. Toutefois il y a des gens qui aiment être fidèle, sexuellement et sentimentalement, à leur partenaire. Chacun établit un contrat avec l’autre et pourvu que ce soit clair et accepté par chacun, cela reste de la sphère du privé.

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