L’été est terminé depuis quelques jours et il est temps de clore cet intermède consacré aux romancières italiennes. Quelques découvertes, mais aussi de nombreux livres encore qui restent sur mes étagères, prise à nouveau par ma vie professionnelle, et aussi des études reprises un peu sur le tard. Enfin bref, une vie bien remplie dans laquelle je souhaiterais ménager plus d’espace pour cette passion de la littérature et des femmes. Mais il faudrait sept vies, comme les chats (?), ou renoncer une fois pour toutes au sommeil, toutes choses impossibles.
J’ai manqué le rendez-vous du matrimoine et celui des éditions Koine à Bagnolet (qu’ils me pardonnent), une belle maison comme on dit, de grandes autrices en devenir, et un éditeur talentueux et passionné. Mais toute une année s’engage déjà, malgré la COVID (il y a vraiment des moments où on se passerait bien du féminin), et quelques ouvrages en attente, reçus par la poste, ou par courrier électronique que j’ai hâte de découvrir !
Des moments précieux, qui pourraient figurer dans les pages d’un roman, rythment cette rentrée, celui où cette conductrice de bus, à chaque arrêt, à pleine voix, souhaitait le bon soir à ceux qui descendaient, le sourire aux lèvres des passagers derrière les masques, l’atmosphère qui soudain se détendait, et cette conviction que la vie se crée, de la même manière peut-être qu’un chapitre de roman.
La vie, la mort, la solitude, tout ce qui mérite d’être dit ou écrit, les soubresauts de nos coeurs endoloris, la passion endormie au creux des paumes, tout ce qui mérite d’être vécu est là, quelque part, qui nous attend !
Bel automne à vous tous, dans la fièvre des découvertes et les bonheurs de la rencontre !
Très beau texte chère Anis. Merci beaucoup !
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Merci beaucoup Philisine de la douceur de ces mots.
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Ça fait du bien de te lire.
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Merci chère visiteuse.
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Merci pour votre prose et pour le temps que vous consacrez à ce blog.
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C’est moi qui vous remercie.
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