Maria Judite de Carvalho – Les femmes et la littérature

L’ironie :

 » Je suis sûre que la plupart des femmes écrivent ou peignent tout comme ma mère brodait des nappes à thé. Pour sentir qu’elles sont utiles en quelque sorte. Utiles à leur manière féminine. Pour ne pas se sentir de trop en ce monde. En somme pour payer leur séjour. »

page 56 – Maria Judite de Carvalho – Ces mots que l’on retient – Minos La Différence 2011 pour la traduction française

Escritoras-em-portugues

Quelques mots de vous...

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.