Archives pour la catégorie Visibilité des femmes dans les prix littéraires

Prix de littérature de l’Union Européenne 2015

Le prix de littérature de l’Union Européenne,  ouvert aux 37 pays participant au programme «Europe créative» dans les secteurs de la culture et de la création, récompense tous les ans les meilleurs écrivains émergents en Europe. Les critères sont assez exigeants, puisque il faut avoir publié entre deux et quatre œuvres et avoir déjà été nominé.

Il est organisé par un consortium composé de la Fédération des libraires européens (EBF), de la Fédération des associations européennes d’écrivains (FAEE) et de la Fédération des éditeurs européens (FEE).

Les œuvres de femmes sont très bien représentées mais elles sont très peu traduites en français. D’ailleurs, le fait est que les ouvrages primés sont, dans leur ensemble, très peu traduits. Pour un prix qui vise à  » promouvoir une diffusion plus large de la littérature européenne; encourager les ventes transnationales de livres; renforcer l’intérêt pour l’édition, la vente et la lecture d’œuvres littéraires étrangères », le résultat est un peu décevant en ce qui concerne les traductions en français. Toutefois, très belle initiative, l’Europe existe, bel et bien, quoi qu’on en dise.

8 romans primés sur les 12 mais une seule traduction sur les 4.

Autriche : Carolina Schutti, Einmal muss ich über weiches Gras gelaufen sein (Un jour, j’ai dû marcher dans l’herbe tendre, Le ver à soie 2018)

Croatie : Luka Bekavac, Viljevo

France : Gaëlle Josse, Le Dernier Gardien d’Ellis Island

Hongrie : Edina Szvoren, Nincs, és ne is legyen

Irlande : Donal Ryan, The Spinning Heart (Le coeur qui tourne, Albin Michel, 2015)

Italie : Lorenzo Amurri, Apnea

Lituanie : Undinė Radzevičiūtė, Žuvys ir drakonai

Norvège : Ida Hegazi Høyer, Unnskyld

Pologne : Magdalena Parys, Magik ( Le Magicien (à paraître en français en 2018)

Portugal : David Machado, Índice Médio de Felicidade (Indice de bonheur moyen, l’Aube,2017)

Slovaquie : Svetlana Zuchova, Obrazy zo života M.

Suède : Sara Stridsberg, Beckomberga – ode till min familj ( Gallimard,Beckomberga – ode à ma famille  2016)

Le Coeur qui tourne par Ryan   Résultat de recherche d'images pour "Undinė RadzevičiÅ«tė, Žuvys ir drakonai" Indice de bonheur moyen par Machado

Résultat de recherche d'images pour "Le dernier gardien d'Ellis Island" Résultat de recherche d'images pour "Svetlana Zuchova, Obrazy zo života M" Le Magicien par Parys

Beckomberga par Stridsberg  2012. december 29.

Prix de littérature de l’Union Européenne 2016

Le prix de littérature de l’Union Européenne,  ouvert aux 37 pays participant au programme «Europe créative» dans les secteurs de la culture et de la création, récompense tous les ans les meilleurs écrivains émergents en Europe. Les critères sont assez exigeants, puisque il faut avoir publié entre deux et quatre œuvres et avoir déjà été nominé.

Il est organisé par un consortium composé de la Fédération des libraires européens (EBF), de la Fédération des associations européennes d’écrivains (FAEE) et de la Fédération des éditeurs européens (FEE).

Les œuvres de femmes sont très peu représentées  et elles ne sont pour l’instant pas  traduites en français. D’ailleurs, le fait est que les ouvrages primés sont, dans leur ensemble, très peu traduits. Pour un prix qui vise à  » promouvoir une diffusion plus large de la littérature européenne; encourager les ventes transnationales de livres; renforcer l’intérêt pour l’édition, la vente et la lecture d’œuvres littéraires étrangères », le résultat est un peu décevant en ce qui concerne les traductions en français. Toutefois, très belle initiative, l’Europe existe, bel et bien, quoi qu’on en dise.

2 romans primés sur les 12 et aucune traduction.

Belgique : Christophe Van Gerrewey, Op de Hoogte

Bosnie-Herzégovine : Tanja Stupar-Trifunović, Satovi u majčinoj sobi

Chypre : Antonis Georgiou, Ένα Άλπουμ Ιστορίες

Danemark : Bjørn Rasmussen, Huden er det elastiske hylster der omgiver hele legemet

Estonie : Paavo Matsin, Gogoli disko

Finlande : Selja Ahava, Taivaalta tippuvat asiat

Allemagne : Benedict Wells, Vom Ende der Einsamkeit ( La fin de la solitude, le livre de poche 2018)

Luxembourg : Gast Groeber, All Dag verstoppt en aneren

Roumanie : Claudiu M. Florian, Vârstele jocului. Strada Cetăţii.

Slovénie : Jasmin B. Frelih, Na/pol

Espagne : Jesús Carrasco, La tierra que pisamos (La terre que nous foulons Robert Laffont, « Pavillons »)

République de Macédoine : Nenad Joldeski, Секој со своето езеро (Each with their own lake)

Résultat de recherche d'images pour "tanja stupar trifunović satovi u majčinoj sobi" Résultat de recherche d'images pour "Selja Ahava, Taivaalta tippuvat asiat"

La fin de la solitude par Wells  La Terre que nous foulons par Carrasco

Prix de littérature de l’Union Européenne 2014

Le prix de littérature de l’Union Européenne,  ouvert aux 37 pays participant au programme «Europe créative» dans les secteurs de la culture et de la création, récompense tous les ans les meilleurs écrivains émergents en Europe. Les critères sont assez exigeants, puisqu’il faut avoir publié entre deux et quatre œuvres et avoir déjà été nominé.

Il est organisé par un consortium composé de la Fédération des libraires européens (EBF), de la Fédération des associations européennes d’écrivains (FAEE) et de la Fédération des éditeurs européens (FEE).

Les œuvres de femmes sont moins représentées et elles sont très peu traduites en français. D’ailleurs, le fait est que les ouvrages primés sont, dans leur ensemble, très peu traduits. Pour un prix qui vise à  » promouvoir une diffusion plus large de la littérature européenne; encourager les ventes transnationales de livres; renforcer l’intérêt pour l’édition, la vente et la lecture d’œuvres littéraires étrangères », le résultat est un peu décevant en ce qui concerne les traductions en français. Toutefois, très belle initiative, l’Europe existe, bel et bien, quoi qu’on en dise.

4 romans primés sur les 12 mais une seule traduction sur les 4.

2014 traductions sur 12, c’est très peu, mais cela viendra peut-être.

Albanie : Ben Blushi, Otello, Arapi i Vlorës

Bulgarie : Milen Ruskov, Възвишение

République tchèque : Jan Němec, Dějiny světla

Grèce : Makis Tsitas, Μάρτυς μου ο Θεός

Islande : Oddný Eir Ævarsdóttir, Jarðnæði

Lettonie : Janis Jonevs, Jelgava ’94

Liechtenstein : Armin Öhri, Die dunkle Muse

Malte : Pierre J. Mejlak, Dak li l-Lejl Iħallik Tgħid

Monténégro : Ognjen Spahić, Puna glava radosti  (la tête pleine de joie – Gaïa, 2016)

Pays-Bas : Marente de Moor, De Nederlandse maagd

Serbie : Uglješa Šajtinac, Sasvim skromni darovi

Turquie : Birgül Oğuz, Hah

Royaume-Uni : Evie Wyld, All The Birds, Singing (Après le feu, un murmure doux et léger, )Actes sud éditions, 2013)

 Résultat de recherche d'images pour "Ognjen Spahić, Puna glava radosti  (la tête pleine de joie –"

Résultat de recherche d'images pour "marente de moor de nederlandse maagd" Résultat de recherche d'images pour "Birgül Oğuz, Hah"

Résultat de recherche d'images pour "Evie Wyld, All The Birds, Singing (Après le feu, un murmure doux et léger,"

Prix de littérature de l’Union Européenne 2013

2013  

Le prix de littérature de l’Union Européenne,  ouvert aux 37 pays participant au programme «Europe créative» dans les secteurs de la culture et de la création, récompense tous les ans les meilleurs écrivains émergents en Europe. Les critères sont assez exigeants, puisqu’il faut avoir publié entre deux et quatre œuvres et avoir déjà été nominé.

Il est organisé par un consortium composé de la Fédération des libraires européens (EBF), de la Fédération des associations européennes d’écrivains (FAEE) et de la Fédération des éditeurs européens (FEE).

Les œuvres de femmes sont bien représentées mais elles sont  peu traduites en français. D’ailleurs, le fait est que les ouvrages primés sont, dans leur ensemble, très peu traduits. Pour un prix qui vise à  » promouvoir une diffusion plus large de la littérature européenne; encourager les ventes transnationales de livres; renforcer l’intérêt pour l’édition, la vente et la lecture d’œuvres littéraires étrangères », le résultat est un peu décevant en ce qui concerne les traductions en français. Toutefois, très belle initiative, l’Europe existe, bel et bien, quoi qu’on en dise.

On atteint complètement la parité en ce qui concerne les romans primés (6/12) et plus de traductions.

Belgique : Isabelle Wéry, Marilyn désossée (Maëlstrom éditions), 2013

Bosnie-Herzégovine : Faruk Šehić, Knjiga o Uni

Chypre : Emilios Solomou, Hμερολóγιο μιας απιστίας

Danemark : Kristian Bang Foss, Døden kører audi – La Mort roule en Audi (Nil,2015)

Estonie : Meelis Friedenthal, Mesilased

Finlande : Katri Lipson, Jäätelökauppias

Allemagne : Marica Bodrožić, Kirschholz und alte Gefühle

Luxembourg : Tullio Forgiarini, Amok – Eng Lëtzebuerger Liebeschronik

République de Macédoine : Lidija Dimkovska, РЕЗЕРВЕН ЖИВОТ

Roumanie : Ioana Pârvulescu, Viaţa începe vineri La Vie commence vendredi- Le Seuil 2016

Slovénie : Gabriela Babnik, Sušna doba La Saison sèche Slovene Writers’ Association (23 juillet 2017) Format kindle

Espagne : Cristian Crusat, Breve teoría del viaje y el desierto

Résultat de recherche d'images pour "marilyn désossée isabelle wéry" Résultat de recherche d'images pour "la mort roule en audi"

Résultat de recherche d'images pour "La Saison sèche roman Gabriela Babnik"  Résultat de recherche d'images pour "La Vie commence vendredi-"

Prix Jean-Monnet de littérature européenne de 1998 à 2018

Les prix mettent en lumière les auteurs qui les reçoivent et encore plus les femmes.  En 13 ans, 5 auteures ont été primées. Ce n’est pas tout à fait la moitié, mais ces prix européens montrent le chemin de la parité dans la reconnaissance sociale des auteurs quel que soit leur genre. C’est une bonne nouvelle !

 

 

Prix Jean-Monnet de littérature européenne

1998 : Herbjørg Wassmo (Norvège) pour Ciel cruel – Actes Sud – traduit du norvégien par Luce Hinsch

2000 : Lídia Jorge (Portugal) pour La Couverture du soldat – Métailié – traduit du portugais par Geneviève Liebrich

2006 : Rosetta Loy ( Italie) pour Noir est l’arbre des souvenirs, bleu l’air – Albin Michel – traduit de l’italien par Françoise Brun

2008 : Danièle Sallenave (France) pour Castor de guerre – Gallimard

2011 : Sylvie Germain (France) pour Le Monde sans vous – Albin Michel

Résultat de recherche d'images pour "ciel cruel wassmo"  Résultat de recherche d'images pour "La Couverture du soldat"  Résultat de recherche d'images pour "Noir est l'arbre des souvenirs, bleu l'air"

Résultat de recherche d'images pour "Castor de guerre" Résultat de recherche d'images pour "Le Monde sans vous"

 

Prix Médicis 2015 – Nathalie Azoulai / Titus n’aimait pas Bérénice

Le prix Médicis a été décerné jeudi 5 novembre à Nathalie Azoulai pour « Titus n’aimait pas Bérénice » (éditions POL), a annoncé le jury. « Je suis très heureuse. C’était une semaine difficile, mais qui se termine de la plus belle des manières. ». Elle a été aussi finaliste du prix Goncourt.

 

« Titus n’aimait pas Bérénice alors que Bérénice pensait qu’il l’aimait. Titus n’aimait pas Bérénice alors que tout le monde a toujours pensé qu’il n’avait pas le choix et qu’il la quittait contre sa propre volonté. Titus est empereur de Rome, Bérénice, reine de Palestine. Ils vivent et s’aiment au 1er siècle après Jésus-Christ. Racine, entre autres, raconte leur histoire au XVIIe siècle. Mais cette histoire est actuelle : Titus quitte Bérénice dans un café. Dans les jours qui suivent, Bérénice décide de revenir à la source, de lire tout Racine, de chercher à comprendre ce qu’il a été, un janséniste, un bourgeois, un courtisan. Comment un homme comme lui a-t-il pu écrire une histoire comme ça ? Entre Port-Royal et Versailles, Racine devient le partenaire d’une convalescence où affleure la seule vérité qui vaille : si Titus la quitte, c’est qu’il ne l’aime pas comme elle l’aime. Mais c’est très long et très compliqué d’en arriver à une conclusion aussi simple.  » Présentation de l’Editeur

Les gagnants du prix Femina 2015 catégorie romans

   « Nous avions peur. De tout, de rien, des autres, de nous-mêmes. De la petite comme de la grande histoire. Des honnêtes gens qui, selon les circonstances, peuvent se muer en criminels. De la réversibilité des hommes et de la vie. Du pire, car il est toujours sûr. Cette appréhension, ma famille me l’a transmise très tôt, presque à la naissance. »

Que se passe-t-il quand on tête au biberon à la fois le génie et les névroses d’une famille pas comme les autres, les Boltanski ? Que se passe-t-il quand un grand-père qui se pensait bien français, mais voilà la guerre qui arrive, doit se cacher des siens, chez lui, en plein Paris, dans un « entre-deux », comme un clandestin ? Quel est l’héritage de la peur, mais aussi de l’excentricité, du talent et de la liberté bohème ? Comment transmet-on le secret familial, le noyau d’ombre
qui aurait pu tout engloutir ?   Présentation de l’éditeur

 

 

« Sous le charme, Dave, vigile dans un luxueux magasin londonien, laisse partir une jeune voleuse qu’il vient de surprendre. Sa journée terminée, il la découvre dehors, à l’attendre. C’est le début d’une relation complexe entre deux êtres abîmés. Comment Alena, venue avec tant de projets de sa Russie natale, s’est-elle retrouvée à la rue et sans papiers ? Pourquoi Dave vit-il comme en exil à quelques kilomètres de chez lui ? Qu’ont-ils bien pu traverser l’un et l’autre pour être si tôt désabusés ?

Page après page, ils s’apprivoisent, se rapprochent – et prennent soin d’éviter leurs zones d’ombre : les réseaux de prostitution, les compromissions, les peurs et les espoirs étouffés de l’une, les cités anglaises à l’horizon bien bas, les rêves d’aventure et les lâchetés de l’autre.

Se gardant des clichés et du larmoyant, Kerry Hudson donne voix aux classes souvent délaissées par la littérature et raconte ses personnages avec leurs fragilités et leurs faiblesses. De l’East London à la Sibérie en passant par Moscou, elle tresse un récit d’une grande finesse, mêlant portrait social et histoire d’amour moderne. Un roman lumineux. » Présentation de l’éditeur.            

 

Prix de littérature de l’Union Européenne 2012

Le prix de littérature de l’Union Européenne,  ouvert aux 37 pays participant au programme «Europe créative» dans les secteurs de la culture et de la création, récompense tous les ans les meilleurs écrivains émergents en Europe. Les critères sont assez exigeants, puisqu’il faut avoir publié entre deux et quatre œuvres et avoir déjà été nominé.

Il est organisé par un consortium composé de la Fédération des libraires européens (EBF), de la Fédération des associations européennes d’écrivains (FAEE) et de la Fédération des éditeurs européens (FEE).

Les œuvres de femmes sont bien représentées mais elles sont très peu traduites en français. D’ailleurs, le fait est que les ouvrages primés sont, dans leur ensemble, très peu traduits. Pour un prix qui vise à  » promouvoir une diffusion plus large de la littérature européenne; encourager les ventes transnationales de livres; renforcer l’intérêt pour l’édition, la vente et la lecture d’œuvres littéraires étrangères », le résultat est un peu décevant en ce qui concerne les traductions en français. Toutefois, très belle initiative, l’Europe existe, bel et bien, quoi qu’on en dise.

On atteint complètement la parité en ce qui concerne les romans primés (6/12) mais une seule traduction sur les trois.

 

2 romans en français pour les filles, 2 pour les garçons

2012

*Autriche : Anna Kim, Die gefrorene Zeit

*Croatie : Lada Žigo, Rulet

*France : Laurence Plazenet, L’Amour seul, Albin Michel, 2005

Hongrie : Viktor Horváth, Török Tükör

Italie : Emanuele Trevi, Qualcosa di Scritto (Quelque chose d’écrit, Actes Sud,2013)

*Lituanie : Giedra Radvilavičiūtė, Siąnakt aš Miegosiu Prie Sienos

Norvège : Gunstein Bakke, Maud og Aud: Ein Roman om Trafikk

Pologne : Piotr Paziński, Pensjonat (Pension de famille, Gallimard,2016)

Portugal : Afonso Cruz, A Boneca de Kokoschka

*Slovaquie : Jana Beňová, Cafe Hyena: Plán odprevádzania (Café Hyène : Un plan d’accompagnement Broché – Le ver à soie 20 mars 2015 )

*Suède : Sara Mannheimer, Handlingen

Résultat de recherche d'images pour "anna kim die gefrorene zeit" Résultat de recherche d'images pour "Lada Žigo, Rulet" Résultat de recherche d'images pour "Laurence Plazenet, L'Amour seul" Résultat de recherche d'images pour "Giedra RadvilavičiÅ«tė, Siąnakt aÅ¡ Miegosiu Prie Sienos" Résultat de recherche d'images pour "Sara Mannheimer, Handlingen"

Résultat de recherche d'images pour "Jana Beňová, Café Hyène : Un plan d'accompagnement Broché"  Résultat de recherche d'images pour "Emanuele Trevi,  (Quelque chose d’écrit, Actes Sud,2013)" Résultat de recherche d'images pour "Piotr Paziński  (Pension de famille, Gallimard,2016)"

Prix de littérature de l’Union Européenne 2011

Le prix de littérature de l’Union Européenne,  ouvert aux 37 pays participant au programme «Europe créative» dans les secteurs de la culture et de la création, récompense tous les ans les meilleurs écrivains émergents en Europe. Les critères sont assez exigeants, puisqu’il faut avoir publié entre deux et quatre œuvres et avoir déjà été nominé.

Il est organisé par un consortium composé de la Fédération des libraires européens (EBF), de la Fédération des associations européennes d’écrivains (FAEE) et de la Fédération des éditeurs européens (FEE).

Les œuvres de femmes sont bien représentées mais elles sont très peu traduites en français. D’ailleurs, le fait est que les ouvrages primés sont, dans leur ensemble, très peu traduits. Pour un prix qui vise à  » promouvoir une diffusion plus large de la littérature européenne; encourager les ventes transnationales de livres; renforcer l’intérêt pour l’édition, la vente et la lecture d’œuvres littéraires étrangères », le résultat est un peu décevant en ce qui concerne les traductions en français. Toutefois, très belle initiative, l’Europe existe, bel et bien, quoi qu’on en dise.

En 2011, sur 12 ouvrages, 4 sont des ouvrages de femmes (4 traductions, dont 2 pour les garçons, même pour eux, ce n’est pas terrible terrible ) , dont 1 roman traduit en français.

Bulgarie : Kalin Terziyski, Има ли кой да ви обича

République tchèque : Tomáš Zmeškal, Milostný dopis klínovým písmem

Grèce : Kostas Hatziantoniou, Agrigento

Islande : Ófeigur Sigurðsson, Jon

*Lettonie : Inga Zolude, Mierinājums Ādama kokam

*Liechtenstein : Iren Nigg, Man wortet sich die Orte selbst

Malte : Immanuel Mifsud, Fl-Isem tal-Missier (tal-iben) (Je t’ai vu pleurer, Gallimard, 2016)

Monténégro : Andrej Nikolaidis, Sin

Pays-Bas : Rodaan Al Galidi, De autist en de postduif

*Serbie : Jelena Lengold, Vašarski Mađioničar

*Turquie : Çiler İlhan, Sürgün L’Exil, Galaade Éditions, 2016)

Royaume-Uni : Adam Foulds, The Quickening Maze (Le labirynthe d’une vie, Piranha, 2017)

Résultat de recherche d'images pour "Inga Zolude, Mierinājums Ādama kokam" Résultat de recherche d'images pour "Iren Nigg, Man wortet sich die Orte selbst" Résultat de recherche d'images pour "Jelena Lengold, VaÅ¡arski Mađioničar"

Résultat de recherche d'images pour "Immanuel Mifsud, Je t’ai vu pleurer, Gallimard, 2016)" Résultat de recherche d'images pour "Adam Foulds, Le labyrinthe d'une vie, Piranha, 2017)" Résultat de recherche d'images pour "Çiler Ä°lhan L’Exil, Galaade Éditions, 2016)"

Prix de littérature de l’Union Européenne 2010

Le prix de littérature de l’Union Européenne,  ouvert aux 37 pays participant au programme «Europe créative» dans les secteurs de la culture et de la création, récompense tous les ans les meilleurs écrivains émergents en Europe. Les critères sont assez exigeants, puisqu’il faut avoir publié entre deux et quatre œuvres et avoir déjà été nominé.

Il est organisé par un consortium composé de la Fédération des libraires européens (EBF), de la Fédération des associations européennes d’écrivains (FAEE) et de la Fédération des éditeurs européens (FEE).

Les œuvres de femmes sont bien représentées mais elles sont très peu traduites en français. D’ailleurs, le fait est que les ouvrages primés sont, dans leur ensemble, très peu traduits. Pour un prix qui vise à  « promouvoir une diffusion plus large de la littérature européenne; encourager les ventes transnationales de livres; renforcer l’intérêt pour l’édition, la vente et la lecture d’œuvres littéraires étrangères », le résultat est un peu décevant en ce qui concerne les traductions en français. toutefois, très belle initiative, l’Europe existe, bel et bien, quoi qu’on en dise.

2010

Belgique : Peter Terrin, De Bewaker (Le gardien , Gallimard 2013)

*Chypre : Myrtó Azína Chronídi, To Peirama

*Danemark : Adda Djørup, Den mindste modstand

Estonie : Tiit Aleksejev, Palveränd (Le pèlerinage [Intervalles, 2018)

Finlande : Riku Korhonen, Lääkäriromaani

*Allemagne : Iris Hanika, Das Eigentliche (Une fois deux, Le livre de poche,2011)

Luxembourg : Jean Back, Amateur

Roumanie : Răzvan Rădulescu, Teodosie cel Mic (Théodose le Petit , Editions Zulma, 2015)

*Slovénie : Nataša Kramberger, Nebesa v Robidah

*Espagne : Raquel Martínez-Gómez, Sombras de unicornio

République de Macédoine : Gorce Smilevski, Сестрата на Зигмунд Фројд (Sigmund Freud’s Sister) (La liste de Freud, Belfond, 2013)

*ouvrage de femme

5 livres de femmes primés sur 12.

1 livre de femme traduit sur 4 

Résultat de recherche d'images pour "peter terrin le gardien" Résultat de recherche d'images pour "Tiit Aleksejev, Le pèlerinage [Intervalles, 2018)" Résultat de recherche d'images pour "Iris Hanika, Une fois deux" La liste de Freud par Smilevski

Le prix de littérature de l’Union Européenne 2009

Le prix de littérature de l’Union Européenne,  ouvert aux 37 pays participant au programme «Europe créative» dans les secteurs de la culture et de la création, récompense tous les ans les meilleurs écrivains émergents en Europe. Les critères sont assez exigeants, puisqu’il faut avoir publié entre deux et quatre œuvres et avoir déjà été nominé.

Il est organisé par un consortium composé de la Fédération des libraires européens (EBF), de la Fédération des associations européennes d’écrivains (FAEE) et de la Fédération des éditeurs européens (FEE).

Les œuvres de femmes sont bien représentées mais elles sont très peu traduites en français. D’ailleurs, le fait est que les ouvrages primés sont, dans leur ensemble, très peu traduits. Pour un prix qui vise à  » promouvoir une diffusion plus large de la littérature européenne; encourager les ventes transnationales de livres; renforcer l’intérêt pour l’édition, la vente et la lecture d’œuvres littéraires étrangères », le résultat est un peu décevant en ce qui concerne les traductions en français. Toutefois, très belle initiative, l’Europe existe, bel et bien, quoi qu’on en dise.

En 2009, sur les cinq traductions, 2 concernent des auteures (Et une autre en français n’est pas une traduction puisqu’elle est déjà écrite en français).

2009

Autriche : Paulus Hochgatterer, Die Suesse des Lebens ( La Douceur de la vie  Quidam Éditeur,2012) ,

Croatie : Mila Pavićević, Djevojčica od leda i druge bajke

France : Emmanuelle Pagano, Les Adolescents troglodytes P.O.L 2007

Hongrie : Szécsi Noémi, Kommunista Monte Cristo

Irlande : Karen Gillece, Longshore Drift

Italie : Daniele Del Giudice, Orizzonte mobile, (Horizon mobile, Le Seuil 2010)

Lituanie : Laura Sintija Cerniauskaité, Kvėpavimas ¡ marmurą

Norvège : Carl Frode Tiller, Innsirkling (Encerclement Éditions Stock, 2009)

Pologne : Jacek Dukaj, Lód (Ice)

Portugal : Dulce Maria Cardoso, Os Meus Sentimentos traduit en français Les anges, Violeta, L’esprit des péninsules, 2006

Slovaquie : Pavol Rankov, Stalo sa prvého septembra (alebo inokedy)

Suède : Helena Henschen, I skuggan av ett brott

Résultat de recherche d'images pour "La Douceur de la vie Quidam Éditeur,2012)" Résultat de recherche d'images pour "Les Adolescents troglodytes P.O.L 2007"Résultat de recherche d'images pour "daniele del giudice Horizon mobile, Le Seuil 2010)"Résultat de recherche d'images pour "Encerclement Éditions Stock, 2009) Carl Frode Tiller"Résultat de recherche d'images pour "Les anges, Violeta"