Goliarda sapienza est née à Catane en 1924, dans une famille socialiste anarchiste. A seize ans, elle entre à l’Académie d’Art Dramatique de Rome et travaille sous la direction de Luchino Visconti, Alessandro Blasetti et Francesco Maselli. A la fin des années 60, elle débute un cycle autobiographique de cinq ouvrages, mais l’élaboration de l’art de la joie lui prendra plus de dix années de sa vie. Elle meurt en 1996.
« Elle écrivait habituellement le matin, commençant vers neuf heures et demie, et jusque vers une heure et demie – deux heures, tous les jours, essayant d’échapper – et ce n’était pas facile – aux nombreuses invitations à déjeuner au soleil de Rome […]Sa journée de travail se terminait souvent par un bain chaud. » Angelo Maria Pellegrino
Angelo Maria Pelligrino a rencontré Goliarda Sapienza en 1975. Il avait 29 ans. Il fut son dernier compagnon et vécut avec elle jusqu’à sa mort, en 1996. Lui-même comédien, écrivain, traducteur et éditeur, il fut le témoin privilégié de la genèse d’une grande partie de son oeuvre et sauva notamment L’Art de la joie de l’oubli. Il dirige désormais en Italie l’édition des oeuvres complètes de Goliarda Sapienza, au sein des prestigieuses éditions Einaudi. Il a publié un livre de souvenirs sur sa compagne.
je suis en train de lire l’Art de la joie!
J’aimeJ’aime
Je viendrai lire avec intérêt ce que tu as écrit.
J’aimeAimé par 1 personne
J’aime cette auteure…je vais lire le.récit d’ Angelo Maria Pellegrino et Les certitudes du doute pour le mois italien. Enfin, il faut que je me dépêche…
J’aimeJ’aime
J’avoue que j’aimerais bien en savoir un peu plus sur elle.
J’aimeJ’aime
Elle me tente, cette auteure.
J’aimeJ’aime
Elle est passionnante c’est sûr. Et quelle personnalité encore une fois.
J’aimeJ’aime
Je découvre cette auteure grâce à toi.
J’aimeJ’aime