Quatre filles d’aujourd’hui qui ont grandi en banlieue, issues de l’immigration, et dont les témoignages, sans manichéisme, raconte l’itinéraire complexe et parfois douloureux. Elles disent le poids des héritages, la place dévolue aux femmes au sein de leurs familles et leur révolte pour vivre autrement.
Comment exister et quel est le prix à payer ? « Perdre des langues, des familles, des pères, « dit Julie Bérès. Un parcours fait de renoncements, d’appartenances perdues et d’identités complexes à redéfinir.
Et la question du foulard : « Cette femme-là est-elle vraiment libre ? »
Une pièce pétrie d’intelligence, d’authenticité et de liberté, qui n’est jamais « là où on l’attend ».
« Une parole qui existe enfin, réjouissante ».
onception et mise en scène Julie Berès ; Avec Lou-Adriana Bouziouane, Charmine Fariborzi, Hatice Ozer et Séphora Pondi ; Texte Julie Berès, Kevin Keiss, avec la participation d’Alice Zeniter ; Dramaturgie Kevin Keiss ; Travail sur le corps Jessica Noita ; Scénographie Marc Lainé et Stephan Zimmerli ; Création sonore David Segalen ; Création lumière Laïs Foulc ; Création vidéo Christian Archambeau ; Costumes Elisabeth Cerqueira ; Remerciements Nicolas Richard, Leslie Six, Karim Belkacem, Marion Stoufflet
Quel beau mot désobéir ! Il faudrait pouvoir parfois en faire une règle de vie !
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Oui, mais parfois désobéir est une ivresse que l’on ne peut pas se permettre.
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Je rêve d’un monde où l’on n’aura plus besoin ni d’obéir, ni de désobéir… 😉
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
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Tu as raison, cela voudrait-il que le pouvoir est partagé par tous !
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Je trouve très courageux d’aborder ces thématiques essentielles dans une pièce. C’est là que le théâtre est beau et riche de sens. 🙂
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Oui, surtout par les temps qui courent.
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