Bleeding childhood

Corinne Freygefond revendique son autodidaxie qui la libère des liens et des codes mais non pas des influences passées ou présentes. Les images qu’elle fixe naissent de ses souvenirs, de ses révoltes, de ses questionnements.

Avatar de Corinne FreygefondAtelier Corinne Freygefond

Le visage dérangé de justesse
Je termine ma ronde
Dans la douceur
Du soleil courageux
Il émane de moi
Dans mes humbles désirs
Un air éternel
Et
Une odeur de jasmin
Les mains longues
Me semblent plus lisses
Le corps dans ses lignes
Se dresse comme une tige de mars
C’est le temps d’un instant
Que les fluides dans leur force
Entrouvrent le passage vers l’immatériel

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2 réflexions sur « Bleeding childhood »

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