Corinne Freygefond revendique son autodidaxie qui la libère des liens et des codes mais non pas des influences passées ou présentes. Les images qu’elle fixe naissent de ses souvenirs, de ses révoltes, de ses questionnements.
Le visage dérangé de justesse
Je termine ma ronde
Dans la douceur
Du soleil courageux
Il émane de moi
Dans mes humbles désirs
Un air éternel
Et
Une odeur de jasmin
Les mains longues
Me semblent plus lisses
Le corps dans ses lignes
Se dresse comme une tige de mars
C’est le temps d’un instant
Que les fluides dans leur force
Entrouvrent le passage vers l’immatériel
Merci pour ces découvertes quotidiennes, et celle-ci en particulier 🙂
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Votre esprit curieux, et votre capacité à être empathique (littérairement parlant, puisque je ne vous connais pas dans la vie) vous permet d’ accueillir, de lire, et de partager. je suis vraiment heureuse que vous veniez ici.
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