Une initiative passionnante de « Passage à l’Est, qu’il est important de relayer. Ceytte mine de ressources et d’informations vous permettra d’alimenter, au féminin aussi, de nombreux challenges dont celui, par exemple, de voisins-voisines.
Quel meilleur jour pour inaugurer sur ce blog une série sur les femmes écrivains d’Europe centrale et orientale qu’aujourd’hui, journée internationale du droit des femmes ?
On pourrait penser que c’est une idée saugrenue que de présenter des œuvres d’auteures d’Europe centrale ou orientale traduites en français. Après tout, ça ne relève pas juste de la recherche d’une aiguille dans une botte de foin : quelque fois, c’est plutôt de la recherche d’une aiguille en paille dans une botte de foin qui a passé l’hiver sous la pluie, tant il faut surmonter le double obstacle de l’identification de femmes auteurs à des périodes où la littérature était plutôt masculine (tant pour la production que pour la critique) et du tamis si fin que représente la traduction. Faire connaître la littérature d’Europe centrale et orientale tout court, n’est-ce pas déjà un défi en soi ?
Pourtant, il y a de belles découvertes à faire…
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Merci pour cet article très intéressant, qui m’a fait découvrir mon inculture. A part Svetlana Aleksievitch, dont je ne suis pas prête à oublier notamment « La fin de l’homme rouge », je ne connaissais aucune de ces autrices (tu vois, je m’entraîne !).
Une liste à conserver soigneusement.
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Plein de bonnes idées, oui, dont quelques-unes se sont déjà matérialisées sur ma PAL !
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