J’ai lu sur « Le temps littéraire » de Jonel Juste auquel je suis abonnée, la nouvelle de l’assassinat de la poétesse haïtienne Farah-Martine Lhérisson. J’ai trouvé la voix magnifique du diseur Pierre Brisson sur l’album A Voix Basse, vol 1 pour la célébrer une fois encore.
« Je remue le silence d’une main ».
Un moment d’émotion profonde que je vous invite à partager.
Et son mari, et leur fils…
Qu’est-ce que c’est que de faire ça, dis-moi.
Qu’est-ce que c’est que de faire ça…
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Il semble que leur fils ne soit pas mort… je l’avais lu sur FranceInfo. …
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La négation absolue de l’Autre, c’est encore plus que la mort…
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Parce que peut-être la mort n’est pas un néant, elle fait partie de la vie et elle est toujours une renaissance sous une autre forme, aussi infime soit-elle.
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