J’écris tout le temps, oui tout le temps, j’ai un cahier dans mon sac, j’écris aux arrêts de bus, et surtout j’écris le matin, très tôt, parce que je me réveille très tôt, même à quatre heures du matin, et en fait je remets ensemble tous les morceaux que j’ai écrits. in France Culture
Les femmes dans l'art et la littérature tout au long de l'histoire
Ce blog vise à faire davantage connaître les femmes auteurs moins connues et moins diffusées que leurs homologues masculins.
Il promeut la vision du féminin sans exclusion de genre.
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Une réflexion au sujet de « Arrêter la vie pour qu’elle ne s’échappe pas, Milena Agus »
« Finalement, sans la magie, la vie a un goût d’épouvante. »
Quelle belle phrase.
Et quelle belle entrevue.
Cette passion tranquille qu’on sent, cet amour qu’elle a pour ses personnages.
Et puis le rapport heureux entre les deux femmes, l’auteure et l’interprète.
Merci, Ann.
« Finalement, sans la magie, la vie a un goût d’épouvante. »
Quelle belle phrase.
Et quelle belle entrevue.
Cette passion tranquille qu’on sent, cet amour qu’elle a pour ses personnages.
Et puis le rapport heureux entre les deux femmes, l’auteure et l’interprète.
Merci, Ann.
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