Voici le message du collectif « Pièces démontées » . « Tendez l’oreille, les Poétesses nous parlent les 27 et 28 mars. |
Ouvrez-les yeux, tendez l’oreille : des drôlesses rôdent dans le quartier de la porte de Bagnolet. Trench-coat mastic ajusté, ceinture verrouillée sur leur trésor : de la littérature sulfureuse sous le manteau. Elles sont prêtes. Elles vous attendent. Elles vous guettent. Au détour de nos quotidiens couleur couvre-feu, elles sont à l’affût pour vous proposer, en toute discrétion, de la came, de la bonne, de la pure : du désir féminin, d’ici et d’ailleurs, universel et singulier. Elles vous susurrent, rien qu’à vous, ces paroles de troubles, d’émois et de force. Mais en gardant une distance sanitairement acceptable. Audacieuses, pas irrespectueuses, les dealeuses. Le prix à payer ? Votre disponibilité et votre propre désir de les entendre. Ces passeuses de trouble à la sauvette vous attendent les 27 et 28 mars, pour deux rencontres quotidiennes :«les poétesses vous parlent le matin» à 11h, 16 rue Joseph Python le 27 mars et cour du 4, place de la porte de Bagnolet le 28 mars «les poétesses vous parlent l’après-midi» à 16h, 16 rue Joseph Python le 27 mars et cour du 4, place de la porte de Bagnolet le 28 mars. Ou venez vous délasser dans un salon individuel d’écoute, confortable à souhait, placé en plein air et nettoyé entre chaque utilisation. Vous y retrouverez ces paroles enfiévrées murmurées pour votre bon plaisir. « |

J’y serais allée… les aurais cherchées…
mais Paris, tu es loin…
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