Citations

Adèle d’Affry dite MARCELLO… — Plumes, pointes, palettes et partitions

» Née à Fribourg, Adélaïde d’Affry devient orpheline de son père le comte Louis d’Affry, à l’âge de 5 ans. Comme nombre d’aristocrates elle reçoit des leçons de dessin et d’aquarelle, mais également de modelage auprès du sculpteur suisse néo-classique Heinrich Max Imhof à Rome. Elle épouse en 1856 Carlo Colonna, bientôt duc de Castiglione-Altibrandi. […]

via Adèle d’Affry dite MARCELLO… — Plumes, pointes, palettes et partitions

La comtesse de Ségur a 220 ans — Le blog du projet « Le deuxième texte »

L’équipe de Gallica nous rappelle sur Twitter aujourd’hui que la comtesse de Ségur est née il y a exactement 220 ans à Saint-Pétersbourg : Le 1er août 1799 naissait à Saint-Pétersbourg Sophie Rostopchine, comtesse de Ségur : retrouvez son œuvre sur @GallicaBnF, dont plusieurs epub à télécharger.https://t.co/9XTW9iDqqN pic.twitter.com/m5bEkjW5YQ — Gallica BnF (@GallicaBnF) August 1, 2019 […]

via La comtesse de Ségur a 220 ans — Le blog du projet « Le deuxième texte »

La Cloche de détresse de Sylvia Plath — TEXTUALITÉS

La Cloche de détresse est un roman nimbé d’une aura particulière en raison des circonstances de sa parution : premier roman de la poétesse Sylvia Plath, il est aussi son dernier car l’autrice s’est suicidée un mois après sa parution. On trouve dans ce texte de nombreux échos autobiographiques, Sylvia Plath narrant l’histoire d’une jeune […]

via La Cloche de détresse de Sylvia Plath — TEXTUALITÉS

Plurielles — Carnets. Gabrielle Segal

Pourquoi ce singulier La femme Cela suffit-il à l’œil des hommes De les fondre toutes en une Et qui est cette femme Qui m’est inconnue Qui sommes-nous Loin des regards Existons-nous dans la solitude Où disparaissons-nous Comme nous disparaissons Des pupilles À l’automne de nos vies Pourquoi ce singulier Est-ce parce qu’il nous est donné […]

via Plurielles — Carnets. Gabrielle Segal

Tatouages/ Caroline Dufour

Caroline Dufour évoque des mondes intérieurs d’une puissance et d’une beauté inouïe. Une rencontre rare …

via Tatouages

TATOUAGES

Je sais.
Mon œil farouche, ma neige brute.
Et l’errance, quand tout passe par le cœur.
Je sais le doute aussi.
En attendant, te souviens-tu de ce boisé où on allait?
Et du grand arbre sur la rive?
Et de la fleur aussi, qui s’est fanée entre nos doigts?
Au bord de la rivière houleuse, on a marqué nos années tendres.
Je porte ces brûlures comme des tatouages sur mon âme.
Et de plus en plus, je ne regrette rien.

Photo : JOURS D’EAU – 9 mars 2019 * Montréal

 

 

La solitude … par Clarissa PINKOLA-ESTÉS — Plumes, pointes, palettes et partitions

» La solitude n’est pas, comme certains le croient, une absence d’énergie ou d’action, mais plutôt une corne d’abondance sauvage offerte par l’âme. Dans les temps anciens, si l’on en croit les médecins-guérisseurs, les religieux et les mystiques, la solitude intentionnelle était à la fois palliative et préventive. On l’utilisait pour soigner l’épuisement et prévenir […]

via La solitude … par Clarissa PINKOLA-ESTÉS — Plumes, pointes, palettes et partitions

Marie d’Agoult alias Daniel Stern et l’« Histoire de la révolution de 1848 » — Le blog de George, le deuxième texte

Après son intervention en introduction de notre atelier Wikisource du 20 octobre dernier, Constance Durand, en master 2 d’histoire sous la direction d’Éric Anceau, à Sorbonne Université, revient sur le parcours de Marie d’Agoult et sur l’écriture d’Histoire de la Révolution de 1848, dans ce nouveau billet de notre rubrique « Écrits de femmes ». Le second tome de l’ouvrage, […]

via Marie d’Agoult alias Daniel Stern et l’« Histoire de la révolution de 1848 » — Le blog de George, le deuxième texte

Ecrire dit-elle : Pauline Sales

pauline« Je considère l’écriture comme un accouchement de soi-même qui doit se renouveler régulièrement. C’est ainsi que l’on arrive à ce que l’on est véritablement, à rester fidèle à soi-même. J’admets que c’est difficile à tenir, mais écrire devient l’enjeu d’une vie».

Source : la voix le bocage