Le prix de la Closerie des Lilas 2015 a été décerné à Saïdeh Pakravan pour Azadi
Présentation de l’éditeur Belfond :
« zadi signifie « liberté » en persan. Il y a ceux qui la rêvent et ceux qui en paient le prix.
Téhéran, juin 2009. Après des élections truquées, une colère sourde s’empare de la jeunesse instruite de Téhéran. Dans la foule des opposants la jeune Raha, étudiante en architecture, rejoint chaque matin ses amis sur la place Azadi pour exprimer sa révolte, malgré la répression féroce qui sévit. Jusqu’au jour où sa vie bascule. Après son arrestation, et une réclusion d’une violence inouïe, ses yeux prendront à jamais la couleur de l’innocence perdue…
Tout en levant le voile sur une psyché iranienne raffinée et moderne, sans manichéisme et avec un souffle d’une violente beauté, Azadi raconte de façon magistrale le terrible supplice de celle qui cherche, telle une Antigone nouvelle, à obtenir réparation. Et à vivre aussi… là où le sort des femmes n’a aucune importance. »
Saïdeh Pakravan, écrivaine franco-américaine de fiction et poète, est née en Iran. Ayant grandi dans un milieu francophone, elle s’installe à Paris, participant, après la révolution iranienne de 1979, à un mouvement de libération de l’Iran.
Publiée dans de nombreuses revues littéraires et anthologies, lauréate de prix littéraires dont le prix Fitzgerald, Saïdeh Pakravan est également essayiste et critique de film.
Tu l’as lu alors ?
J’aimeJ’aime
Non, de ceux qui étaient sélectionnés, je suis en train de lire « La baronne Blixen ».
J’aimeJ’aime
Il est dans ma PAL. J’essaie de le lire en mai.
La baronne Blixen doit être bien aussi. J’attends ton avis
J’aimeJ’aime
Je l’ai interrompu car je veux lire pour le mois belge d’Anne. Mais le début ne m’a pas passionnée.
J’aimeJ’aime
Il m’attend dans ma PAL depuis quelques semaines… J’espère aimer !
J’aimeJ’aime
J’attendrai ton avis donc avant de me lancer.
J’aimeJ’aime
C’est un livre très intéressant sur la vie à Téhéran, on apprend plein de choses. Mais j’y trouve quelques faiblesses : caractérisation des personnages n’est pas très réussie (à l’exception du Gardien de la Révolution qui est très bien) et les discussions politiques sont peu compréhensibles pour un non familier de l’Iran. Mais c’est un livre qui en apprend beaucoup sur l’Iran.
J’aimeJ’aime