Sur le mépris des femmes, et notamment des femmes écrivains au début du XXe siècle en Angleterre :
« L’approbation des dames est toujours suspecte, observa-t-il. On risque le rejet des esprits sérieux. L’étiquette romantique de l’esprit chevaleresque. Le véritable écrivain s’efforce de conquérir des lecteurs d’une autre trempe.
- Nous ne sommes pas toutes des lectrices écervelées de romans anglais, protesta Béatrice. »
in Helen Simonson , « L’été avant la guerre ».