
Si cette crise a été un révélateur et l’occasion de prises de conscience, elle a permis de comprendre l’importance du réseau des librairies indépendantes et des dérives liées à la consommation de masse. Je me suis rendue compte que je n’avais pas envie que la librairie de ma ville disparaisse, que j’aimais y aller, et que je la voulais bien vivante car pour moi, elle était le cœur battant de ma ville. A Poissy, se trouve une belle et spacieuse librairie, « La Librairie du Pincerais », qui propose toute une sélection d’ouvrages de grande qualité. Cette semaine, je me suis intéressée aux bandes-dessinées :


dans la pile, je n’ai lu que l’excellent et rude Radium Girls et (on aperçoit à gauche et à l’envers) l’Arabe du futur.
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Les deux m’attirent beaucoup.
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Même dans ma grande ville, mon amour va aux indépendantes.
Je t’embrasse, Ann.
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Oui, je crois qu’entre une librairie et nous, il peut y avoir une histoire d’amour.
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Je vais régulièrement dans une grande librairie indépendante, une historique de Nantes, qui mélange poches et brochés. Elle est populaire, complète et parfaitement située. Il faudra que je teste d’autres librairies plus discrètes.
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Oui, dans ce domaine on peut aimer plusieurs sans problème ! On peut être polylibrairies.
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Je te rejoins totalement et j’achète au maximum dans la librairie indépendante la plus proche de chez moi. Excellent weekend à toi 🙂
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