« Je crois que c’est, à peu de choses près, ainsi que l’histoire se serait déroulée si une femme au temps de Shakespeare avait eu le génie de Shakespeare […]. N’importe quelle femme, née au XVIe siècle et magnifiquement douée, serait devenue folle, se serait tuée ou aurait terminé ses jours dans quelque chaumière éloignée de tout village, mi-sorcière, mi-magicienne, objet de crainte et de dérision . »
Woolf V., Un lieu à soi, nouvelle traduction de Marie Darrieussecq, éditions 10/18, chapitre X, p. 41.
Une réflexion sur « La petite sœur de Shakespeare – Les femmes et la littérature / Virginia Woolf »